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L’école, dont la construction doit être terminée sous peu à Paskuqan, une banlieue de Tirana, a été créée pour répondre aux besoins actuels et nouveaux de la communauté. La structure, permanente et modulable, conçue pour stimuler l’acquisition de connaissances, est le fruit d’une collaboration étroite entre des spécialistes de l’enseignement et du bâtiment. Le Projet albanais pour le développement de l’éducation (AEDP) de la Fondation Soros a financé cette école, assurant les huit premières années d’enseignement, dans le cadre de son programme plus vaste destiné à promouvoir le système éducatif du pays.
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Le collège de Torcy se trouve dans la ville nouvelle de Marne la Vallée, en banlieue parisienne, pris entre l’autoroute et un site de campagne sans intérêt particulier. Le site domine un petit plan d’eau à la limite de la ville. Une attention particulière a été accordée au contexte géographique et à l’environnement dans ses diverses dimensions, de l’intégration du bâtiment au paysage à la conception des espaces intérieurs de l’établissement. Ce souci de l’environnement s’accompagne d’une attention particulière portée à la qualité de la mise en œuvre et au souci de la finition.
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Ce document aide les pays à déterminer s’il serait possible de créer un certain type de corps de hauts fonctionnaires structuré selon des principes communs. Dans les pays d’Europe centrale et orientale comme dans les pays Membres de l’OCDE, les hauts fonctionnaires jouent un rôle crucial pour élever le niveau de professionnalisme de l’administration ainsi que pour réformer celle-ci dans son ensemble. La plupart des pays d’Europe centrale et orientale n’ont pas adopté de lois relatives à la fonction publique. Toutefois, des politiques approuvées concernant le recrutement, la sélection et les transferts des hauts fonctionnaires ainsi que le déroulement de leur carrière peuvent limiter les risques de politisation de la fonction publique aux postes qui devraient être confiés à des cadres. Dans un contexte caractérisé par l’absence d’une législation de la fonction publique définissant les droits et devoirs des fonctionnaires, la création d’un corps de cadres supérieurs (CCS) peut être un facteur de stabilité.
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La question des réactions de la demande de pétrole et d'énergie aux variations du revenu et des prix reste au premier plan des débats consacrés à la politique économique. Comme l'on n'escompte qu'un ...

En 2002, quatre établissements d’enseignement supérieur finlandais ont créé un consortium baptisé Université provinciale de Laponie, ayant pour objectif de promouvoir le développement régional, d’élargir l’accès à l’enseignement supérieur, d’intensifier la collaboration inter-établissements et de stimuler l’innovation. Le consortium dispense différents cursus éducatifs diplômants et non diplômants. La mission de l’Université provinciale de Laponie s’étend jusqu’aux communautés vivant dans des zones reculées de la province, grâce à un mode de fourniture alliant enseignement traditionnel et apprentissage à distance. Le système tire parti des infrastructures que comptent quatre des six sous-ensembles régionaux de Laponie. L’Université provinciale propose un large éventail de services, allant de l’éducation ouverte aux programmes de formation professionnelle, en passant par les services d’expertise, de recherche et développement et d’évaluation. La nature des services fournis est choisie de façon à couvrir les besoins régionaux, axés principalement sur le développement de l’industrie du tourisme. Les besoins d’apprentissage et de formation ont été identifiés dans chacun des quatre sous-ensembles régionaux, en collaboration avec un large panel d’acteurs issus des secteurs public et privé. Les établissements d’enseignement supérieur prennent part à l’élaboration et à la mise en œuvre des objectifs stratégiques à l’échelon de la région et des sous-ensembles régionaux.

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La mondialisation induit une mutation profonde du développement économique, qui conduit les organismes chargés de promouvoir le développement à adopter une approche régionale fondée sur le savoir-faire propre de chaque région, en d’autres termes sur son avantage concurrentiel. La mondialisation accroît par ailleurs l’accent mis sur l’innovation, qui est désormais le principal moteur de la croissance économique – tant pour les entreprises que pour les régions et les pays. Or, les universités se situent à l’intersection de ces deux tendances profondes : ancrées à l’échelon régional, elles sont sans doute également le principal moteur de l’innovation. S’appuyant sur l’expérience récente de certains États américains, le présent rapport analyse ce point de convergence en tentant de répondre à trois questions essentielles : (1) En quoi la compétitivité régionale est-elle le nouveau cadre du développement régional ? (2) Comment améliorer la compétitivité des régions ? (3) Comment lier les efforts d’innovation menés dans les universités au développement régional ? La conclusion du rapport est la suivante : il est urgent de mettre en œuvre de nouveaux mécanismes pour assurer cette corrélation entre innovation universitaire et développement régional. Les politiques publiques peuvent promouvoir ces mécanismes en répondant aux besoins « jumeaux » qui sous-tendent le marché émergent de l’innovation régionale : les responsables politiques devraient ainsi encourager les universités à proposer l’innovation sous des formes facilement exploitables par les régions, tout en aidant ces dernières à déterminer quelles sont les innovations les plus indispensables à leur prospérité économique future.

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Une étude a été menée auprès d’étudiants en Grande-Bretagne et en Allemagne dans le but de déterminer si leurs attitudes évoluaient des schémas traditionnels vers une logique plus adaptée à la marchandisation de l’enseignement supérieur. Elle a montré que les étudiants britanniques ont une vision plus utilitaire et plus matérialiste de leur carrière future et de leurs perspectives de rémunération. Ils attachent plus d’importance à la dimension intellectuelle de l’enseignement supérieur, tandis que les Allemands sont davantage intéressés par le développement personnel et un travail socialement utile. Cela dit, les étudiants britanniques se soucient beaucoup plus des relations humaines dans leurs établissements d’enseignement supérieur et en ont une appréciation beaucoup plus positive. Alors que l’on pouvait craindre qu’une conception du savoir orientée vers le marché conduise à se désintéresser de la théorie, les étudiants britanniques manifestent plus d’enthousiasme intellectuel et expriment plus d’intérêt pour la poursuite de leurs études et la recherche. On peut donc penser que la conception du savoir est peut être différente au Royaume-Uni. Les étudiants britanniques sont plus au courant des mesures prises dans leurs établissements pour l’assurance de la qualité, et plus satisfaits de leurs cours que leurs homologues allemands. En revanche, le personnel britannique éprouve sur plusieurs points importants moins de satisfaction dans son travail que le personnel allemand, de sorte que la satisfaction des étudiants semble être obtenue à ses dépens.

Par Rosalind M.O. Pritchard

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Le niveau de la productivité horaire du travail est, avec la durée du travail, le taux d’emploi et la part de la population en âge de travailler dans la population totale, l’un des déterminants comptables du niveau du PIB par habitant. Hors, de multiples analyses indiquent que les niveaux de productivité horaire du travail seraient très proches, voire même supérieurs, dans plusieurs pays européen, au niveau observé aux États-Unis alors que, simultanément, le PIB par habitant y serait très nettement inférieur (cf.

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Ces dix dernières années, modifiant son approche des politiques universitaires, la Suisse a adopté au niveau cantonal et fédéral un mode de financement fondé sur les résultats : les universités se sont vu accorder une plus grande autonomie par leurs autorités de tutelle (autorités cantonales), associée à des budgets globaux et à une gestion contractuelle. Dans le même temps, les instances fédérales, qui n'interviennent qu'à titre secondaire dans le financement des universités, ont changé la base d'allocation de leurs subventions, substituant la notion d'objectifs à celle d'intrants (Loi fédérale du 8 octobre 1999 sur l'aide aux universités, dite Loi sur l’aide aux universités). L’adoption de ces nouveaux éléments orientés sur les résultats, à savoir une plus grande autonomie combinée à des budgets globaux et à une gestion par contrats et une allocation des subventions fédérales sur la base d’objectifs, ont donné lieu à de vives discussions et controverses, à la fois dans les différentes instances parlementaires et dans les médias. Cet article examine si, et dans quelle mesure, ces nouvelles incitations ont conduit à des changements de comportement dans les universités. Pour apprécier cela, nous avons analysé l'évolution de l'efficacité technique (comparaison intrants/extrants dans le processus de production de l'université) et celle de l'efficacité générale (degré de réalisation des objectifs formulés dans la loi sur l'aide aux universités).

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Cet article met en lumière un éventail d’activités entrepreneuriales et de participation régionales menées par les universités en rapport avec les questions actuelles de gouvernance et de financement. Il présente un modèle de réseau et de partenariat qui reflète les instrument, établis ou nouveaux, utilisés les pays européens. Ce modèle a pour but de trouver un équilibre entre concurrence et coopération en tenant compte de la diversité et de la stratification des systèmes d'enseignement supérieur et de recherche dans différents pays. Du point de vue régional, il paraît primordial de s’assurer que les connaissances produites dans les universités sont transmises aux entreprises et à la société, de manière à créer une interaction entre les acteurs mondiaux et locaux. L'amélioration des interactions entre les universités et l'industrie passe par l'étude des caractéristiques de la gouvernance interne et externe car parfois des forces opposées entrent en jeu. Les universités doivent réaliser que différentes institutions peuvent être complémentaires. Elles doivent également se préoccuper des meilleures réponses à donner aux exigences de viabilité et de transparence dans le cadre plus large de l’espace du savoir. Ce type de réseaux et de partenariats doit être adapté aux spécificités régionales et aux caractéristiques des institutions concernées. Cette condition est nécessaire afin de pouvoir coordonner efficacement les moyens d'action mis en œuvre en vue d'atteindre les objectifs souhaités. Alors seulement pourra s'instaurer un esprit d'entreprise et d'innovation au sein d'établissements individuels, entre établissements et entre ces derniers et leurs régions.

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La contribution économique des établissements universitaires au développement de leur territoire d’accueil peut être perçue à deux niveaux. L’impact des universités peut être perçu à travers les conséquences directes de l’investissement initial et les effets des dépenses des étudiants, du personnel ou de fonctionnement sur l’environnement. Mais, on peut aussi les considérer comme des institutions publiques poursuivant tout à la fois des missions d’enseignement supérieur, de formation et de diffusion du savoir qui contribuent à l’accumulation locale de capital humain et des missions de recherche, de création de connaissances nouvelles favorisant le progrès technique sur le territoire d’accueil. Mais, cet apport a souvent été négligé dans les études d’impact. Aussi, l’objectif de cet article est de s’interroger sur l’impact de la création d’universités nouvelles, en termes d’externalités de connaissance, sur le développement économique de leur territoire d’accueil.

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La globalisation des échanges commence à toucher les universités nationales un peu partout dans le monde. Pour répondre à cette pression extérieure, chaque établissement cherche plus à s’assurer une notoriété internationale par la recherche que nationale par la pédagogie. La concentration de l’attention et de l’activité sur la recherche conduit, par exemple l’université française à perdre des parts de marché par rapport à d’autres structures d’enseignement supérieur. Une des principales raisons est que la recherche pousse à la spécialisation alors que le marché demande de plus en plus des formations pluridisciplinaires ou transversales. Pour répondre à ces demandes contradictoires de la société, deux scénarios extrêmes sont présentés, l’un qui tente de maintenir l’esprit universaliste des universités et l’autre qui pousse les établissements d’enseignement supérieur à toujours plus de spécialisation au nom de l’excellence de la recherche. Entre ces deux modèles, il y a peut être une voie médiane, difficile, mais combien enrichissante pour la communauté universitaire, à condition cependant de repenser le management universitaire. Dans tout processus de changement, l’erreur majeure est de vouloir confondre la démarche des individus avec celle des organisations. L’université peut assurément continuer à tenir tous les fils conduisant au développement économique, mais on ne peut pas demander à chaque acteur d’avoir ce profil polyvalent. C’est donc la qualité des liaisons interpersonnelles et leur management qui fera la qualité des universités de demain....

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Beaucoup de pays africains ont obtenu des réductions de leur dette extérieure. Ces réductions ont pour objet, entre autres, de réaffecter les ressources budgétaires ainsi libérées à la lutte contre la pauvreté. Toutefois, cela ne va pas sans soulever plusieurs questions. Premièrement, les systèmes de gestion des dépenses publiques (GDP) des pays africains sont-ils suffisamment développés pour que l’on puisse relever les dépenses qui, dans les budgets annuels, sont proprement liées à la lutte contre la pauvreté et trouver des informations à leur sujet dans les systèmes comptables des pays ?...

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